| Karl Otfried Müller - 1865 - 758 pages
...lui semblait rien de particulier, mais comme une forme autre d'une chose autre. « Le feu, dit-il, vit la mort de la terre, et l'air vit la mort du feu, l'eau vit la mort de l'air, et la terre celle de l'eau2, » voulant exprimer ainsi d'une façon spirituelle et expressive que les... | |
| Jules Augustin Girard - 1879 - 468 pages
...vivant, renaît à mesure qu'il meurt. Ce qu'il ya de plus actif, le feu, l'engendre et le dévore éternellement par une transmutation incessante des...son cours et dans sa fin. Quand le philosophe parle Au jeu du Temps, qu'il le compare à un enfant jouant aux dés et qu'il dit que la royauté de l'univers... | |
| Jules Girard - 1887 - 492 pages
...toujours vivant, renaît à mesure qu'il meurt. Ce qu'il ya de plus actif, le feu, l'engendre etle dévore éternellement par une transmutation incessante des...tout de suite de remarquer, l'existence soumise à dos lois fixes dans son origine, dans son cours et dans sa fm. Quand le philosophe parle au jeu du... | |
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